FR — LARRY ROMANOFF — Retranscription de COVID USA — le 7 Avril 2020

Retranscription de COVID USA avec Larry Romanoff le 7 Avril 2020

YouTube: https://www.youtube.com/watch?v=nKVnIxQzfvs

        Traduction française : Isabelle revu  Alain

PUBLIÉ LE 7 AVRIL 2020

CHINESE ENGLISH ESPAÑOL FRANÇAIS PORTUGUÊS  ROMANIAN  RUSSIAN

 

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Les Virus. C’est comme les enfants d’un parent. On ne peut avoir un enfant qui apparait tout seul. Il doit bien arriver de quelque part. Et dans ce cas, il y a  soi-disant cinq types de parents. Et seuls les Etats-Unis ont les cinq. La Corée, Taiwan en avait une variété. En fait, le même nombre en Grande Bretagne. La Chine en avait un complètement différent des autres. Il était plus mortel que celui de la Corée et chaque pays en avait un différent. L’Iran et l’Italie ont séquencé le leur, et ont découvert qu’il était différent de celui de la Chine, donc leurs contaminations ne provenaient pas de Chine. Cela provenait d’ailleurs. Mais l’autre lieu d’où cela venait, ne pouvait être que les Etats-Unis parce que c’était le seul endroit où ces variétés existaient.

Bonnie Faulkner : Je suis Bonnie Faulkner. Aujourd’hui sur Guns & Butter, nous recevons Larry Romanoff le sujet de l’émission  d’aujourd’hui : COVID USA

Larry Romanoff, bienvenu

Mr Romanoff vit à Shanghai et est actuellement en train d’écrire une série de dix livres plus généralement liés à la Chine et l’occident.

Aujourd’hui nous allons parler de plusieurs de ces articles, dont une série concernant le nouveau coronavirus, y compris «  le coronavirus Chinois : Une mise à jour bouleversante. Est-ce que le virus vient des Etats-Unis ? , «  le Japon la Chine et Taiwan : Synthèse sur l’origine du virus,» et pourquoi Les états Unis, n’effectuent pas de tests sur le coronavirus Covid 19- Larry Romanoff, Bienvenu.

Larry Romanoff : Merci.

Bonnie: j’ai lu avec intérêt de nombreux articles que vous avez écrit dans votre série “ Remonter à l’origine de la contamination et la propagation du Coronavirus ».

Quand avez-vous commencé à étudier l’épidémie du coronavirus ? Et qu’est-ce qui vous a conduit à faire cette petite enquête ?

Larry: En fait, j’ai commencé au tout début, parce qu’il y avait des éléments curieux concernant cette infection et les faits, et en partie parce que sans pouvoir l’expliquer, ces deux dernières années, la Chine a eu six de ces virus, des virus porcins, des virus aviaires, des éruptions de toutes sortes, sortant les unes après les autres, et à chaque fois, durant une guerre commerciale.

Dans le monde entier, il y avait bien quelques épidémies ici et là,  diverses souches aux Etats-Unis mais le seul lieu où il n’y a pas eu de pandémie ou d’infections typiques, étaient d’autres pays n’ayant pas de laboratoires biologiques à l’endroit exact où se trouvent des bases militaires Américaines.

Par exemple, lorsqu’Ebola (le virus) a fait son apparition en Afrique, l’infection s’est produite à trois endroits différents et de façon simultanée à des milliers de kilomètres de part et d’autres. Et à chaque fois, à l’endroit exact où se trouve un laboratoire biologique de bases militaires Américaines. Ce n’est pas une preuve et quoi qu’il en soit, c’était bizarre. Et avec la Chine, qui a subit toute cette succession de virus sans explications, ce dernier semblait réellement étrange. Donc j’ai commencé à l’étudier, depuis le tout début, et plus j’étudiais et plus c’était étrange.

Bonnie : Bien, vous écrivez que durant ces deux dernières années il y a eu une guerre commerciale, comme vous l’avez indiqué, la Chine a vécu plusieurs épidémies et vous en avez indiqué six dans l’un de vos articles. Pourriez-vous parler de ces couvertures épidémiques sur les animaux sauvages, le bétail, les cultures, et même la population en Chine et les conséquences de ces épidémies ?

Larry: Bien, il n’y a pas eu de cas sur les animaux sauvages, mais quatre d’entre elles étaient des virus aviaires. L’une d’elles a été très pathogène, et c’est propagée durant la crise du coronavirus. Elle est arrivée en Janvier dans la province limitrophe de Wuhan, à côté de la province de Hubei.

Quatre de ces virus aviaires, et le virus porcin étaient des agents pathogènes assez rares. Ils n’avaient pas été détectés là auparavant et cela sans aucune explication. Il n’y avait pas d’éléments pour remonter à leurs origines. Et, dans le cas du virus porcin, la grippe porcine, il y avait de multiples alertes rapportées dans diverses régions de la Chine qu’avec des petits drones, quelqu’un était en train de survoler des élevages de porcs ou pulvérisant des substances.

Dans l’un des plus grands élevages porcins, et la Chine n’en n’a pas beaucoup de très grands. Ce sont principalement des petits élevages. Mais l’un des plus grands, au nord de la Chine, les drones arrivaient si souvent que les propriétaires ont utilisé des appareils pour bloquer tous les drones afin de les arrêter dans leurs allers et venus. Ils ont du les arrêter parce que les autorités ont dit que c’était sur les voies aériennes d’un aéroport, et cela avait une incidence sur les avions. Donc ils ont arrêté de les utiliser. Mais il y a eu des rapports concernant les drones survolant dans de nombreuses régions en Chine au dessus des élevages de porcs. Personne n’a jamais pu retracer l’origine.

Les medias occidentaux ont raconté des histories sur les gangs Chinois essayant de tuer tous les troupeaux de porcs pour obtenir un avantage, mais cette histoire n’avait pas beaucoup de sens. Il n’y avait aucune preuve de quoi que ce soit du genre. Mais tout était très très étrange. Il n’y avait aucun moyen de relier cela à quelque chose d’externe. Il n’y avait aucune preuve matérielle.

Mais le fait, juste que la Chine en ait autant, et que personne d’autres au monde n’en aurait – Tout cela devenait de plus en plus étrange. Et le seul résultat de tout cela, a été de tuer plus de la moitié du cheptel porcin de la Chine, ce qui signifiait que la Chine devait importer des milliards de dollars de viande de porc en provenance des Etats-Unis. Ils ont tué tous les poulets quatre fois de suite ou cinq fois de suite. Donc la Chine a du revoir sa politique et a commencé à acheter plus de produits agricoles aux Etats-Unis.

Et c’était juste très étrange parce que cela n’arrivait pas ailleurs et la Chine rencontrait ce genre d’incidents les uns après les autres, et rien ne les reliaient les uns aux autres. C’était des virus différents à chaque fois.

Bonnie : Le fait que vous viviez en Chine vous a aidé à remonter jusqu’au virus, le coronavirus ou auriez vous pu faire ce genre d’analyse si vous aviez été aux Etats-Unis ?

Larry : Je pense que le fait d’avoir été sur place a été un avantage parce que j’ai des contacts ici, des sources d’information que je n’aurais pas eue si j’avais résidé en dehors de la Chine. C’est probablement plus pratique de le faire d’ici.

Bonnie : Quelle méthodologie utilisez-vous pour identifier la propagation du virus ? Ce qui veut dire, est-ce que vous rassemblez des preuves des principaux médias, des statistiques du gouvernement ou d’autres sources ? Comment effectuez-vous vos recherches ?

Larry : Bien, en fait c’est très compliqué. Cela comprend tout ce que vous mentionnez et bien plus encore. Ce virus a commencé comme une simple curiosité pour moi, mais cela a fini par devenir une recherche de trois mois à temps complet – de longues journées, trois mois complets.

Donc, j’ai cherché tout ce que je pouvais trouver- dans les media de chaque pays, au niveau régional; puis les scientifiques internationaux. J’ai des amis en Italie, par exemple des contacts où je pouvais collecter l’information de virologues Italiens sur leurs opinions concernant la source du virus,  la cause, et sa propagation. La même chose au Canada, et avec la Corée du Sud.

Donc j’avais des sources de nombreux endroits différents, et c’était juste de la collecte d’information sur tout cela, et recouper les éléments afin que cela ait un sens.

Bonnie : Dans votre article du 4 mars (2020), « le Coronavirus chinois : mise à jour choquante : est-ce que le coronavirus provient des Etats-Unis ? Le Japon, la Chine et Taiwan rapport sur les origines du virus ».  Qu’est-ce que Japon, la Chine et Taiwan ont dit sur les origines du coronavirus ?

Larry : Et bien, c’est étrange, parce que lorsqu’une infection épidémique arrive, la première chose que chaque pays essaie de faire, c’est de trouver la source – c’est à dire le patient zéro. Vous voulez savoir… vous voulez découvrir qui a commencé, qui était à l’origine de la contagion afin d’arrêter la source. Parce que si vous voulez traiter les infections qui arrivent, elles vont toujours continuer à augmenter parce que la source (le patient 0) est encore en train de circuler affectant tout le monde. Donc vous voulez remonter jusqu’à l’origine et y mettre un terme là, afin de traiter l’infection et finalement, elle finira par s’éteindre.

Et bien (il y a eu) un effort important pour essayer de remonter à la source, au patient 0 et ensuite quelque chose de vraiment étrange a eu lieu, parce qu’ils ont arrêté subitement. A la place, les Chinois, pas seulement les virologues, mais aussi les agences de renseignements Chinoises ont arrêté de regarder en Chine, et ils ont commencé à observer en dehors de la Chine dans le reste du monde. Ils ont rassemblé plus d’une centaine de virus de différents pays des quatre continents, et ils ont commencé à identifier toutes leurs séquences génétiques. Et c’était très étrange parce qu’ils n’ont jamais dit pourquoi ils l’ont fait, mais c’est évident qu’ils ont arrêté de chercher la source en Chine parce qu’il s’était passé quelque chose. Il s’est passé quelque chose qui les ont amenés à penser que le virus venait de l’extérieur du pays. Donc ils se sont arrêtés de chercher en Chine et ont commencé à chercher à l’extérieur, c’était la première chose.

La deuxième chose qui s’est passée, presque aussitôt, c’est que les agences de presse Japonaises ont publié diverses histoires et un programme TV qui affirmait que le virus avait certainement une origine aux Etats-Unis, que les gens qui rentraient au Japon infectés avec le coronavirus dès la fin du mois de septembre – des touristes qui rentraient des Etats-Unis au Japon et d’autres informations.

Et ensuite un virologue Taïwanais qui y a passé beaucoup de temps. Il a du avoir accès à la même information parce qu’il est remonté à tous les différents types, et les souches du virus. Et dans un long programme TV, il a en a conclu dans sa démonstration, que le virus devait avoir son origine à l’intérieur des Etats-Unis, parce que toutes les souches en dehors des Etats-Unis étaient principalement des branches d’un arbre. Et ces branches ne pouvaient pas exister d’elles-mêmes. Il devait y avoir un tronc commun d’origine, et ce tronc existait seulement aux Etats-Unis parce que seuls les Etats-Unis ont les différentes variétés de ce virus.

Donc c’est là que ca a commencé.

Bonnie : A quel moment dans l’évolution de ce virus, est-ce que la Chine a commence à regarder en dehors de la Chine ? Est-ce que vous vous en souvenez ?

Larry : A peu près à la fin de janvier, me semble-t-il.

Bonnie : C’est ça à peu près au même moment où le CDC a fait son annonce explosive, en fait. Donc comment les chercheurs Chinois ont pu en conclure que le virus avait une origine en dehors de la Chine ? Et comment ont –ils pu collecter tous ces échantillons?

Larry : Bien, parce que lorsque les chinois ont été les premiers à séquencer le génome pour le virus, ils l’ont envoyé à l’OMS et d’autres, y compris les Etats-Unis qui ont fait de même. Mais les autorités Chinoises sont également allées aux Etats-Unis et je suppose qu’ils les ont collectés des autorités de santé locales, mais ils en ont eu aussi par l’OMS qui les avaient, des autorités de santé de tous les autres pays aussi. Donc ils ont tout rassemblé et ont pu comparer toutes les variétés. Cela devrait être simple à expliquer mais pour une raison que j’ignore, ce n’est pas le cas.

C’est juste que ces virus comment puis-je dire, c’est comme les enfants d’un parent. Vous ne pouvez pas avoir d’enfant qui apparait de lui-même. Il doit bien provenir de quelque part. Et dans ce cas, il y a cinq sortes de soi-disant parents, et seuls les Etats-Unis ont tous les cinq. La Corée, Taiwan, ont une variété, le même qu’en Angleterre en fait. La Chine en avait un entièrement différent des autres, qui était bien plus mortel que celui en Corée. Et les différents pays en avaient de différents types. l’Iran et l’Italie ont séquencé les leurs et ont découvert qu’il était différent que celui identifié en Chine, donc leurs infections ne provenaient pas de Chine. Les leurs venaient d’ailleurs.

Mais ailleurs, ne pouvait être que les Etats-Unis, parce que c’était le seul endroit où ces variétés de virus avaient existé.

Bonnie : Je parle avec un chercheur, journaliste et auteur, Larry Romanoff. L’émission d’aujourd’hui : COVID USA Je suis Bonnie Faulkner. C’est Guns et Butter. Selon votre article cela provenait du marché aux poissons à Wuhan en Chine apparemment le nouveau coronavirus s’est répandu rapidement. Qu’est-ce que vous avez découvert sur l’arrivée des virus au marché de Wuhan ?

Larry : Ce que les virologues Chinois ont découvert, c’est que le marché n’était pas à l’origine du virus, pas du tout. En fait, le virus n’avait rien à voir avec le marché. Ils sont remontés jusqu’aux nombreux points de cas contacts dans la province de Hubei et dans la ville de Wuhan, mais ce n’était pas relié au marché. Et il semblerait que ce qui s’est passé, c’est que toutes les personnes infectées à l’origine, toutes sont allées au marché, et parce que c’est un lieu très dense et avec de nombreuses personnes proches les unes des autres, chacune a contaminé tout le monde, très rapidement et le virus s’est répandu très vite depuis de nombreux points de contacts au marché.

Mais le virus était au marché avant de sortir du marché. Cela a été prouvé même là….Daniel Lucey qui est un virologue Américain a dit exactement la même chose. Il a étudié cela aussi. Et il a affirmé que le virus était au marché bien avant d’être identifié. Et le marché ne vend pas de chauve-souris et des animaux sauvages, ce genre de choses. C’est plus généralement un marché aux poissons. Donc tout cela c’est un écran de fumée qui a été créé par les médias.

En réalité le marché n’avait rien à voir avec l’épidémie. Cela aura été le cas, même si le marché n’avait pas existé. Le virus était, je ne sais pas, semé, planté, d’une manière ou d’une autre, est sorti à de nombreux endroits en même temps à Wuhan, et de là, il a juste traversé la ville. Le marché se trouvait juste être un endroit pratique pour pour le propager.

Bonnie : Vous voulez dire qu’au marché aux poisons, ils ne vendaient pas de chauve-souris, et d’autres espèces comme les pangolins, ou peu importe ce que c’est….

Larry : Non

Bonnie : Toutes ces choses étranges ?

Larry : non, non, non, Non, non, c’est un écran de fumée, rien de ce genre.

Les gens en Chine ne mangent pas de chauve-souris, et ils ne mangent pas de pangolin non plus. Les photographies qui étaient dans les vidéos qui ont circulées ont été réalisées à Palau en Micronésie dans le Pacifique Sud parce que là bas les gens mangent des chauves souris, avec finesse. Et la vidéo provenait d’un guide touristique Chinois avec un groupe de touristes et des locaux qui lui ont donné un bol de soupe de chauve souris pour gouter, et ils l’ont montré dans la vidéo. Et alors les gens qui ont pris cette vidéo en ont fait la promotion, comme si c’était les Chinois qui mangeaient des chauves souris. Mais cela n’a jamais été vrai. Et il n’y a jamais eu de chauve souris à vendre en Chine- jamais.

Bonnie : N’est-ce pas intéressant, parce que j’ai vu une image de cette femme essayant de manger de la chauve souris dans une soupe….

Larry : oui

Bonnie : …et puis je pense que je l’ai vu s’excuser plus tard, en ligne. C’est vraiment fou.

Larry : et bien cette video a été réalisée il y a quatre ans.

Bonnie : Maintenant qui met ces vidéos en ligne ?

Larry : je n’en ai aucune idée. Certaines provenaient de VOA et de Radio Free Asia, qui sont principalement des officines de la CIA dédiées principalement à leur propagande. Mais une fois qu’elles sortent, tous les gens qui pensent que c’est passionnant iront les propager et les transmettre à quelqu’un, et cela se répand comme un virus. Cela part dans tous les sens. Et c’est très difficile de remonter à la source. Mais quelqu’un l’a pris et ils l’utilisaient comme un écran de fumée pour essayer ensuite d’accuser la Chine ou du moins les rendre responsables par déduction. C’est la même chose concernant le laboratoire de l’Université de Wuhan qu’on appelle le laboratoire de virologie de Wuhan, qui n’avait absolument rien à voir avec tout ça. Mais ils ont dit que c’était la Chine qui en avait, car c’était très proche du marché aux poissons en conséquence, c’est la cause.

Mais là encore, c’était juste pour faire beaucoup de bruit pour manipuler tout le monde, avec toutes sortes de preuves de circonstances pour essayer d’en accuser la Chine et sa population. Mais tout cela c’était des fausses informations.

Bonnie : C’est intéressant n’est-ce pas, parce que j’ai beaucoup lu sur le laboratoire biologique P4 à Wuhan qui avait connu des fuites bien avant que les gens ne le déclarent. Ce n’est pas vrai ?

Larry : Non, non, la Chine a connu un seul cas de fuite et c’était il y a dix ans à Pékin là où ils ont construit leur premier laboratoire et quelques virus se sont échappés deux ou trois fois, mais c’était minime, et cela ne s’est pas reproduit depuis lors. Et le laboratoire de Wuhan est un laboratoire BS4 (Laboratoire de recherche Biologique de Sauvegarde niveau 4) qui analyse différents types d’agents pathogènes, mais il n’y a jamais eu de fuites et ce n’est pas un laboratoire d’armes biologiques. C’est juste une partie du laboratoire de virologie de l’université.

Le fait qu’il se soit trouvé à Wuhan était logique, mais comme je l’ai indiqué dans un de mes articles, ce sont les Etats-Unis qui ont tous les agents infectieux. J’ai indiqué dans l’un de mes articles de 2012 à 2017 que les Etats-Unis a eu 1059 agents infectieux pathogènes dans les laboratoires biologiques P3 et P4. 1059 en sept ans c’est beaucoup, la plupart sont très sérieux. La dernière (fuite) était à Fort Detrick, AMRAA (le laboratoire scientifique militaire de recherche et développement) où le CDC l’a fermé parce qu’il y a eu des fuites dangereuses, ils l’ont fermé six mois. Ce n’était pas rien. Ce n’était pas comme si on le fermait le week-end. Ils ont fermé tout le laboratoire et c’est un local monstrueux, d’une surface de 80 000 m2 soit presque un million de pieds/2 ; des locaux immenses.

Et ce ne sont que des bio-armes de laboratoire – de l’armée américaine. Et le CDC leur a envoyé une lettre de mise en demeure et ils l’ont fermé six mois. Et ensuite, en décembre ils l’ont ouvert. Ils l’ont ouvert partiellement pour continuer certains travaux de recherche mais cela a pris six mois d’analyses et de décontamination, pour nettoyer cet endroit. Donc les medias américains et les medias occidentaux en général, ont ignoré tout cela, puis ils ont accusé la Chine de fuites à Wuhan qui n’ont jamais existé.

Et les seules fuites que la Chine a connu, comme je l’ai dit, à Pékin c’était il y a 10 ans. Mais ils ont ignoré plus de 1000 fuites qui ont eu lieu aux Etats-Unis, donc ce n’est pas la Chine responsable des fuites.

Bonnie : Bien c’est intéressant, parce que cela implique que c’est toujours le laboratoire biologique de type P4 à Wuhan à l’université comme vous expliquez, c’est toujours écrit comme si c’était un laboratoire d’armes biologiques.

Larry : oui, et ce n’est pas le cas. Il n’y a jamais eu de lien quelconque avec l’armée. Je connais très bien le lieu. Je ne vis pas très loin de Wuhan. Je suis allé à Wuhan de nombreuses fois. Je connais l’université, et je suis habitué au laboratoire, et c’est juste une partie du Département de Biologie. Cela n’a rien à voir avec l’aspect militaire.

Bonnie : Ooh!

Larry : donc tout ce que c’est, c’est juste de la fumée créée par les medias occidentaux qui essaient d’insinuer, suggérant par là que la Chine est directement liée et sont responsables eux-mêmes. Mais la partie la plus folle dans ce virus lorsqu’il s’est répandu, c’était un problème spécifiquement 100 % Chinois. Cela n’avait pas atteint les autres. Il y a des millions d’étrangers en Chine. Il y en a des milliers et des milliers, à Wuhan. Et il n’y a pas eu un seul caucasien de contaminé. Le virus était spécifiquement 100 % chinois.

Et même vers la fin, après des mois, il y avait seulement un Caucasien que je connais je pense un Allemand, qui a été infecté par la version Chinoise du virus. Donc aucun pays n’est sur le point de créer un agent pathogène très dangereux qui attaque seulement sa propre population. Je veux dire, pourquoi la Chine ferait elle ce genre de chose ?

Bonnie : Donc vous êtes en train de dire que ce virus à Wuhan a été spécifiquement et génétiquement Chinois ?

Larry : Absolument, Absolument à 100 % Personne d’autres n’a été contaminé avec celui-ci.

Bonnie : Et Bien, ça c’est une bombe ! Je me rappelle en train de lire que les Chinois ont botté le cul à une bande d’Américains hors de Chine pour avoir collecter de l’ADN là bas.

Larry : Oh ils l’ont fait. Revenons à cela une petite seconde parce que c’est très important.

Mais en ce qui concerne la partie à Wuhan, je veux dire il y a beaucoup beaucoup, de nombreux étrangers, d’Américains, à Wuhan. Et personne absolument personne n’a été contaminé. Donc c’est spécifiquement chinois à 100 %, et oui c’est une bombe parce qu’il ne peut pas y avoir de virus naturel qui s’en prend seulement à une seule race d’une population.

Maintenant en Italie, et en Iran, les souches du virus sont différentes. Ce ne sont pas les mêmes que celles en Chine. Ils sont en train d’atteindre les Italiens et les Iraniens. Et le même est vrai aussi pour la Corée du Sud. La Corée du Sud, a une souche identifiée complètement différente de la souche Chinoise. Elle est beaucoup moins mortelle mais plus sévère. Et cela atteint seulement les Sud Coréens. On ne la retrouve pas ailleurs. Et bien je suis navré Taiwan l’a aussi – le même genre- mais c’est beaucoup plus bénin. C’est une souche complètement différente. Donc celle-là atteignait seulement les Chinois.

Et c’était la folie, parce que les media, auraient dit la France a eu les premiers cas de contamination de ce coronavirus, mais lorsque vous remontez jusqu’à eux, ce n’était pas la France. C’était deux individus Chinois qui ont voyagé de la Chine vers la France, et qui se trouvaient contaminés. Et ils auraient dit « l’Australie a été le premier cas de coronavirus » mais là encore, c’était un Chinois. C’était des Chinois à 100 % seuls les Chinois ont été contaminés. Et ces contaminations n’étaient pas reliées d’autres épidémies eventuelles.

Comme en Italie, il y avait deux ou trois Italiens qui ont été identifiés comme contaminés en Italie. Ils ont été mis en quarantaine. Ça s’est passé et puis ensuite l’infection en Italie s’est retrouvée dans un endroit totalement différent de ces personnes qui n’ont eu aucun contact avec ces voyageurs Chinois. C’était une épidémie nationale – qui n’avait absolument rien à voir.

Mais les médias, faisaient en sorte que l’on sache que la Chine a propagé un virus partout dans le monde, aux Français, aux Australiens, aux Italiens, et cela n’a jamais été vrai. Jamais vrai. C’était seulement les Chinois qui ont été contaminés par ce virus.

Il y a eu la même chose avec le SARS justement. C’était à 99.5 % Chinois. Quelques Vietnamiens ont été contaminés, et personne d’autre, et  ils ont fait un grand bruit sur le Canada qui avait 40 cas de SARS, mais tous ceux contaminés étaient tous des Chinois qui revenaient de voyage en Chine, et ont été contaminés ensuite. Et Ils sont retournés au Canada puis ont contaminé des médecins Chinois. Il n’y avait pas de non Chinois contaminés par le SARS. Et la même chose en vrai avec le coronavirus maintenant. Donc, l’épidémie initiale pour les premiers mois a été entièrement spécifiquement Chinoise. Cela n’arrive pas par accident.

Bonnie : Je suis en train de discuter avec un chercheur, journaliste et auteur Larry Romanoff. Dans l’émission d’aujourd’hui COVID USA. Je suis Bonnie Faulkner et C’est Guns & Butter. Et alors vous alliez parler un petit peu de : qui étaient les Américains qui collectaient de l’ADN en Chine, et ensuite la Chine les a expulsé en dehors du pays ?

Larry : Oh c’était vicieux. C’était à l’Université de Harvard. Havard s’est arrangé avec les militaires Américains, et je ne sais plus qui d’autres pour venir en Chine. Il y avait un programme de recherche. Ils voulaient faire des études. Au début cela devait être sur l’asthme.

Mais ce qu’ils voulaient faire c’est de collecter des échantillons d’ADN. Et le gouvernement Chinois leur a refusé l’étude. Donc sans rien dire à personne, ils ont envoyé une équipe de chercheurs d’Harvard en Chine dans la province de Anhui en proposant d’effectuer des recherches régionales pour étudier l’asthme et d’autres maladies Anhui, qui est une province pauvre de la Chine.

Mais ce qu’ils ont fait, c’était de réunir et de collecter des milliers des échantillons d’ADN Chinois, et ensuite de se faufiler loin du pays je pense dans des valises diplomatiques, en fait. Et lorsque le gouvernement à découvert ça, en retour c’est devenu l’enfer. Il y a eu des poursuites judiciaires partout en Chine, aux Etats-Unis à Harvard, qui a été maudit pour son manque d’éthique et le gouvernement Chinois était si furieux, qu’ils ont fait ça parce que cette étude avait été interdite auparavant. Mais ils sont revenus et ils l’ont fait de toute façon et ils ont tout fait passer en dehors du pays sans que personne ne le sache. Et cela n’a pas été découvert avant qu’ils n’écrivent un papier qui a été publié sur le sujet.

Et ensuite, quelques journalistes du China Daily ont commencé leur propre enquête et ils ont découvert le pot aux roses. Et l’université de Harvard a dit qu’ils avaient obtenu la permission du gouvernement Chinois à différents niveaux, et ils ont démontré que toutes ces lettres d’autorisation étaient des faux. Ils étaient complètement faux.

Ils ont dit qu’ils avaient obtenu des lettres de consentement de chaque personne auprès desquelles ils ont récupéré les échantillons d’ADN, mais lorsqu’il y a eu une enquête judiciaire par le ministère de la justice américain, l’Université de Harvard a subitement broyé toute les éléments matériels sur les principes de protection relatifs à la vie privée des patients. Et tout d’un coup, il n’y avait plus de preuves et il n’y a plus aucun élément matériel, plus rien. Donc l’enquête pouvait être conclue. Donc ils ont fait obstruction à tout en broyant les documents de ce fait, il n’y avait plus aucun moyen de prouver quoi que ce soit mais des chercheurs ont recherché tous les milliers de soi-disant « patients » et ont n’a demandé à personne de signer quoi que ce soit, ou un accord ou une autorisation quelconque.

Il n’y avait absolument aucune autorisation. Il n’y avait aucun document. Il n’y avait pas d’accord de principe, rien. Ils l’ont fait discrètement, en douce, et sont repartis avec tout aux Etats-Unis. C’est un énorme gâchis.

Bonnie : Et à quelle période ça s’est passé ?  et de toute évidence ils collectaient tous les ADN des patients Chinois, n’est-ce pas ?

Larry : Oui ; c’était exclusivement de l’ADN qu’ils vérifiaient. C’était aux alentours des années 1999 ou 2000

Bonnie : ok, c’était il y a longtemps. D’accord

Larry : oui, et à l’époque on suspectait qu’ils le faisaient surtout pour des recherches dans le cadre d’armes biologiques. C’est l’une des raisons pour lesquelles le gouvernement était si furieux lorsque cela s’est passé.

Et Harvard n’a pas été autorisé à y revenir.

Bonnie : le Virologue Chinois que vous citez dit que les lieux géographiques, avec la plus grande diversité de souches du virus, doit être la source d’origine parce qu’une seule souche ne peut pas sortir de nulle part, ce qui est ce que vous venez de décrire à peu de choses près.

Larry : La plupart des pays ont seulement une souche. Les Etats-Unis les ont toutes. La Chine n’a qu’une souche qui est plus mortelle que la grippe classique. Il y a eu une infime partie à Guangzhou d’une souche différente qui est plus superficielle, elle a été vite maitrisée et tuée, et puis plus rien.

L’Australie a 90 % de la souche et une petite partie de l’autre. Le Premier ministre Australien a dit que 80 % de ces infections provenaient des Etats-Unis, donc cette dernière mais les Etats-Unis est le seul pays qui les a toutes la plupart des pays en ont une.

Bonnie : Maintenant est-ce que toutes ces différentes souches de coronavirus qui existent aux Etats-Unis, est-ce quelles sont toutes en suspension parmi le public ? Où sont ces souches qui sont situées aux Etats-Unis ?

Larry : Bien, il y a eu une infection dans l’état de Washington, ce qui semble être le lieu où cela a commencé. Maintenant New York est l’épicentre, et je ne sais pas comment New York est devenu l’épicentre mais c’est évident que New York a 40 – 50 % de tous les décès et 40 – 50 % de toutes les contaminations. Donc d’une manière ou d’une autre, c’est arrivé jusqu’à New York. Mais en fait, il y a autre chose dans cette histoire et je ne pense pas que quelqu’un le sache.

Il y a une immunologiste Chinoise, docteur en médecine (Helen Chu) de l’état de Washington qui a effectué des recherches sur la grippe – la grippe classique. Durant quelques mois en octobre, novembre, décembre 2019, elle a collecté des glaires de la gorge et du flux nasal des gens partout dans l’état de Washington. Et ils les ont enregistré et catalogué et les ont sauvegardé. Et lorsque nous avons su que le nouveau coronavirus se propageait, elle a été très inquiète lorsqu’elle et son équipe ont récupéré ces glaires des gens dans l’état de Washington. Et ils ont trouvé des symptômes de maladie qui n’étaient pas la grippe, c’était quelque chose de nouveau et très étrange, et elle a été de plus en plus inquiète qu’il y ait un nouvel agent pathogène dans les environs.

Et elle a demandé au CDC l’autorisation de commencer à donner les analyses sur ces glaires qu’ils avaient collecté depuis des mois pour le coronavirus, et le CDC a refusé de lui donner la permission. Et en fait, lorsqu’elle a insisté il s’est passé quelque chose de très étrange, et ils ont eu besoin de le retrouver, le CDC a….je pense qu’il y avait une vidéo conférence. Je ne m’en souviens plus. Je pense que c’était une vidéo conférence avec le CDC et le Dr Chu et son équipe, puis les autorités de santé de l’état et d’autres personnes, lui ont remis une lettre officielle de mise en demeure, et on lui a formellement interdit d’effectuer des analyses sur les glaires pour le coronavirus.

Et, puis finalement vers la fin du mois de février, le Dr Chu était si inquiète qu’il se passe quelque chose de grave et de sérieux, c’était que les gens commençaient à mourir, et elle a désobéit aux ordres, et a testé certains de ces glaires de toute façon,et bien sûr qu’elle a trouvé le coronavirus, qui est la raison pour laquelle, les informations sont sorties aux Etats-Unis. Si cela n’avait pas été pour ça, personne ne l’aurait jamais su mais à ce moment là, des milliers, ou des dizaines de milliers de gens dans l’état de Washington ont été contaminés.

Des douzaines de personnes dans des maisons de retraite, étaient déjà décédées. Et c’était le lieu où la maladie a commencé à l’origine aux Etats-Unis. Et même après cela, le Dr Chu a été réprimandée et on lui a formellement interdit de faire d’autres analyses. Le CDC prétendait que c’était parce que ces glaires avaient été collectées des américains pour des analyses sur la grippe et qu’il n’était pas éthique d’analyser ces glaires pour une autre maladie parce que vous étiez en train de transgresser leur vie privée et vous deviez revenir vers chacun d’eux, et leur demander leur consentement avant de refaire des analyses, ce qui est complètement dingue. Je veux dire, si vous suspectez qu’un glaire que vous avez collecté sur moi pourrait s’avérer être une maladie dangereuse, dire que ce n’est pas éthique de faire l’analyse, et attendre que je décède c’est juste dingue.

Ils AURAIENT DU revoir cela, mais le CDC a refusé catégoriquement, et je pense qu’ils sont probablement en train de détruire tous les échantillons. Mais cela prouverait probablement que le virus était parmi nous en suspension autour de l’état de Washington au mois d’octobre et novembre, mais ils étaient tous en train d’accuser le virus de la grippe pour tous ces décès et ils n’avaient fait aucunes analyses. Et en fait, le CDC a ordonné aux médecins Américains de ne pas effectuer d’analyses pour le coronavirus mais pour la grippe, et d’effectuer des analyses pour toutes sortes de maladies d’abord.

Et s’ils trouvaient des symptômes de tout et n’importe quelle maladie, ils s’arrêteraient là. Ils n’ont jamais effectué d’analyses pour le coronavirus. Et de par mon expérience, si vous ne posez pas la question, c’est parce que vous savez déjà la réponse et vous ne voulez pas que qui que se soit le sache, mais ont leur a tous interdit, on leur a absolument interdit d’analyser/tester le coronavirus.

Bonny : Ce que je ne comprends pas, si vous observez cela d’un point de vue politique, que se passe t-il en Italie ? Pourquoi ce genre d’infection arrive au nord de l’Italie ? Est-ce que vous avez des hypothèses la dessus ?

Bonnie : D’un point de vue géopolitique, l’Italie est amèrement détestée par le gouvernement Américain, en partie parce qu’elle a rejoint  “La Ceinture la Route”, de la Chine, en partie parce qu’elle a participé avec la Chine a de nombreuses initiatives mondiales, et aussi parce qu’elle a refusé de se joindre pleinement à l’Union Européenne à 100 % lors de l’intégration financière. L’Italie a principalement conservée son système bancaire et son infrastructure de crédit séparée du reste de l’Union Européenne, et est détestée pour cela depuis longtemps   (note du traducteur elle confond l’Italie et la Suisse ??!!) – Il y a certaines bonnes raisons pour lesquelles certains voudraient punir l’Italie beaucoup, beaucoup comparés à l’Allemagne, ou n’importe quel autre pays. L’Italie est franchement une cible. Elle est amèrement détestée.

Bonnie : Bien c’est très intéressant. Je n’avais pas compris ça sur l’Italie, que les italiens n’avaient pas complètement intégré leur système bancaire et financier dans l’Union Européenne. Je ne savais pas ça.

Larry : oui beaucoup ne le savent pas, en particulier  sur le système bancaire et de crédit italien, ce que l’Union Européenne a combattu durant longtemps. Ils voulaient vraiment avaler l’Italie, et ça l’Italie l’a refusé, ce qui a été durant longtemps une pomme de discorde.

Donc sur l’Italie, d’un point de vue géopolitique, il y a beaucoup de bonnes raisons de provoquer l’effondrement économique de l’Italie, pour les forcer financièrement à intégrer complètement l’Union Européenne. Et ça va être la conséquence. L’Italie sera si durement touchée, qu’il y aura tellement de dettes et leur économie sera si touchée que le système bancaire sera sérieusement affecté qu’ils n’auront probablement pas d’autre choix que de faire ce que l’Union Européenne veut qu’ils fassent. Ce sera le résultat majeur de ce virus en Italie.

Bonnie : similaire à la Grèce, un ?

Larry : oui, oui, oui. Ce qui est arrivé en Grèce c’est arrivé sans le virus, mais c’est le même genre de choses qui s’est passé. La Grèce a été forcée à cela, et l’Italie est maintenant en train de subir les mêmes effets. Il n’y a probablement rien à faire pour l’éviter. Plus généralement, concernant tout ce qui est politique, la première question à se poser est la suivante : à qui cela profite ? Parce que c’est toujours une erreur de supposer que les résultats n’étaient pas planifiés. Ils sont presque tous planifiés.

Donc lorsque vous observez le résultat, quel est l’avantage ? A qui cela profite ? et dans ce cas, l’Union Européenne en profite parce qu’ils peuvent engloutir le système financier de l’Italie, et l’Italie est punie pour avoir participé avec la Chine. C’est le principal résultat.

Avec l’Iran, c’est tout particulièrement mauvais. Mike Pompeo a fait un discours l’autre jour, en réalité, Mike Pompeo a adressé une circulaire à tout le personnel du Département d’Etat, à chacun, tout le personnel du service des affaires étrangères, leur donnant des points de discussion (non intelligible) très particulier. J’ai eu une copie de ces documents sur la façon dont on doit accuser la Chine pour le virus mondial et l’épidémie, et en particulier, il leur a dit dans chaque interview aux informations, de déclarer que « les Etats-Unis est la nation la plus humanitaire, qui n’ai jamais existé dans l’histoire du monde ». OK ? c’est une citation de Pompéo.

Mais en attendant, l’une des premières choses qui s’est passée lorsque le virus a fait son apparition c’était que l’administration Américaine, a imposé encore plus de sanctions contre l’Iran, pour garantir que l’Iran n’obtienne pas de livraisons de médicaments. C’est seulement la Chine qui a transgressé ces sanctions internationales, ce qui a donné à l’Iran l’espoir de pouvoir traiter les gens, parce que l’Iran a subit un boycott complet de livraisons médicales de n’importe où dans le monde. Et cela a été institué après que le virus ait fait son apparition par l’administration Trump, ce qui n’est pas très gentil.

Bonnie : Je suis en train de parler en tant que chercheur, journaliste et auteur, Larry Romanoff. L’émission d’aujourd’hui : COVID USA, je suis Bonnie Faulkner et c’est Guns & Butter.

Dans votre article du 6 mars 2020, pourquoi les Etats-Unis, apparemment ne font pas de tests pour le coronavirus 2019. Vous soulignez que les centres Américains du CDC le centre de contrôle des maladies, n’est pas en train de tester le nouveau Coronavirus COVID 19 et que les analyses fiables n’existent pas aux Etats-Unis. Que voulez-vous dire par «  des tests fiables n’existent pas aux Etats-Unis ?

Larry : Et bien, pour reprendre depuis le début, en revenant au mois de janvier, le CDC a produit quelques analyses sur le virus, qui étaient complètement biaisés. Ensuite, ils les ont envoyés. Tous les états les ont immédiatement rejetés en disant que les résultats étaient complètement incorrects. Ils étaient tronqués. On prenait deux analyses provenant de la même personne. L’un était très positif, et l’autre négatif. Ce n’était pas fiable.

Et le CDC a dit finalement à tout le monde, de les mettre de côté parce qu’ils étaient biaisés. En même temps, l’OMS avait des très bonnes analyses qui fonctionnaient, qu’ils ont proposé aux Etats-Unis et le CDC a refusé de les utiliser. Trump a dit dans l’un de ses entretiens, que les analyses de l’OMS n’étaient pas bons, mais ce n’est pas vrai, Ils étaient parfaits. Le CDC a produit un test biaisé, et ensuite ils n’ont rien produit, rien du tout.  Ils trainaient les pieds. Ils n’ont produit aucune analyse de toute sorte.

Donc, il n’y avait pas de tests disponibles aux Etats-Unis. A un certain moment, au mois de février,  au milieu du mois de février, la Californie a dit qu’il y avait seulement deux séries de tests disponibles pour tout l’état. New York en avait moins. Et la plus grande partie de l’état, rien. Il n’y avait pas de test disponible. Dans tous les Etats-Unis, et le CDC a refusé de nous en produire un.

Alors le CDC a commencé à dire que les gens devraient contacter des producteurs privés, pour voir s’ils pouvaient obtenir des tests, donc les gens ont essayé ça, mais lorsque les producteurs privés ont eu besoin d’obtenir l’autorisation du CDC pour les tests, le CDC a trainé des pieds, et a refusé de les approuver, donc cette procédure a durée environ deux mois.

Donc, personne n’a pu faire aucun test. Finalement il ya eu quelques tests, qui ont été réalisés mais en fait, personne ne sait vraiment. Le CDC est en train de dire ….Je ne me rappelle plus du terme, mais c’est « des contaminations présumées »

Donc les chiffres que vous voyez publiés dans les journaux qui vous indiquent que les Etats-Unis enregistrent 100 000 contaminations, et 5000 décès ou autres, ces chiffres ne sont pas fiables. Le CDC n’effectue aucune analyse. C’est juste des suppositions.

Ils ont fait la même chose avec la grippe H1N1 il y a quelques années en arrière. Ils ont juste utilisé « le taux de contamination présumé ». Donc personne ne sait vraiment. Il n’y a pas beaucoup de tests qui sont effectué aux Etats-Unis, même aujourd’hui. Mais il y a quelque chose d’autre que vous devriez savoir et personne ne semble être au courant.

Le CDC n’est pas ce qui parait être. Nous pourrions attendre du CDC, qu’il soit la grande sœur du NIH, le National Institute of Health par exemple comme un organisme civil dédié à la préservation de la santé des Américains mais ce n’est pas le cas.

Le CDC est en fait, la maison mère du laboratoire d’armes biologiques de Fort Detrick (dans le Maryland) cela fait parti de l’armée Américaine. A la fin de la seconde guerre mondiale, lorsque l’unité 731 le laboratoire des japonais en Chine a été identifié pour avoir effectué des expériences sur des agents pathogènes biologiques en Chine, et toute leurs expérience sur l’homme ; la raison pour laquelle ils ont pu éviter les procès pour crimes de guerre, c’est à cause de l’armée Américaine, avec le General Douglas MacArthur, il a conclu un marché avec Shiro Ishii, pour que tous les documents, et son équipe soient transférés aux Etats-Unis.

Et il y en avait au moins entre 4 à 5000, et voir même peut-être 10 000 d’entre eux, et ils ont été transférés aux Etats-Unis, avec leurs expériences sur toutes les armes biologiques, la pratique, les matériaux, les documents, tout. Et ces gens-là ont tous été installés dans des bases miliaires Américaines, et ils ont tous été transférés. Certaines personnes à ce moment là, ont été transférées au CDC nouvellement ouvert, qui fait parti de l’armée Américaine. Cela n’a jamais été une structure civile. Il y a quelques années, il y a eu un grand scandale dans les médias sur le CDC qui a exporté leurs agents pathogènes biologiques partout dans les pays du monde entier.

Et, l’exemple qui a été utilisé c’était l’Irak, c a d que le CDC a envoyé une longue liste de tout, depuis l’anthrax, jusqu’à la peste bubonique jusqu’aux coronavirus, et dieu sait quoi.  Une longue liste d’éléments en Irak et d’autres pays. Et le CDC l’a fermement nié et ils ont dit qu’ils étaient blancs comme neige, et qu’ils ne feraient jamais une chose pareil, et qu’ils étaient une structure purement civile, et ils n’avaient rien à voir avec des agents pathogènes.

Mais ensuite USA Today a publié une fiche de livraison avec le papier à en-tête du CDC, qui ressemble presque à un rêve terroriste. C’est une liste de tous ces agents pathogènes biologiques que le CDC a vendu partout dans le monde entier, à divers pays. Donc le CDC s’est tu, et le sujet a été supprimé des médias. Cela a disparu du circuit.  Mais le CDC a fait du marketing international sur les agents biologiques pathogènes durant des décennies.

Le CDC fait parti de l’armée Américaine, ce n’est pas une structure civile, donc c’est bien plus compliqué que les apparences.

Bonnie : Bien, ce que je ne comprends pas politiquement, c’est le confinement ok ? Ce truc est devenu mondial. Il y a tous ces pays qui sont en confinement. Maintenant ici aux Etats-Unis, cela détruit toutes les petites entreprises, peut-être même les moyennes entreprises. Cela ne semble pas être la réponse appropriée pour une pandémie.

Larry : Bien, le confinement, je pense, si je suis ma théorie plus haut, ces confinements, n’auraient jamais du avoir lieu. Rien de cela n’aurait du avoir lieu. C’était censé être attribué à la grippe, et la vie aurait du retrouver son cours normal, et il n’y aurait pas eu d’effets particuliers. Les hôpitaux, auraient vu le nombre de décès augmenter, mais vraiment rien de plus.

Mais lorsque les informations sur le coronavirus leur a échappé aux Etats-Unis et que c’est devenu une affaire publique, alors les autorités locales de santé, qui ne sont pas partie prenante au niveau national et qui ne font pas partie du CDC ; les autorités de santé publiques ont essayé de protéger leurs personnels, et alors, ils ont commencé à effectuer certaines analyses de leur propre chef, et ils ont réalisé que le virus se propageait. Ils ont pris l’initiative des confinements eux-mêmes. Je veux dire, c’était New York qui a décidé le confinement de New York. Ce n’était pas l’administration Trump ni le CDC qui ont décidé de le faire.

Et la même chose est vraie en Californie et de beaucoup d’autres états et villes. Ils ont pris leurs propres initiatives pour essayer de se préserver eux-mêmes. Ce n’était pas des instructions au niveau national. En Chine, c’était au niveau national où le gouvernement décidait : C’est la façon dont on va gérer cela. Nous allons mettre en quarantaine toutes ces régions, et les confiner, pour prévenir la propagation du virus. Cela venait d’en haut. Aux Etats-Unis, rien n’est venu d’en haut. C’est venu d’en bas.

Bonnie : Dans votre article catastrophique, “ L’humanité à la croisée des chemins : relier les points, vers notre Nouveau Monde” vous écrivez, que « les pouvoirs financiers de l’Europe, et de l’Amérique sont en train de planifier une gouvernance mondiale super souveraine, avec un contrôle absolu de l’intérieur. Il faudrait être fou pour ignorer le nombre volumineux de preuves » Considérez-vous le confinement mondial, comme une étape dans la direction vers un super gouvernement mondial souverain ?

Larry : oui, absolument, absolument, absolument.

Si vous pensez aux conséquences, encore une des choses qui est arrivée. Vous indiquez que cela tue les petites et les moyennes entreprises. C’est en train de tuer aussi les compagnies aériennes. Toutes celles qui sont sur le point d’être en faillite très rapidement. Et quelqu’un rachètera toutes ces compagnies aériennes, pour des cloppes et ensuite le virus disparait, et quelqu’un sera propriétaire de toutes les compagnies mondiales. Ce n’est pas rien.

Bonnie : C’est ce qui me fait penser que cette pandémie est fausse. Mais elle n’est pas fausse puisque des gens sont en train de mourir. Donc je ne comprends pas.

Larry : Bien si vous pensez aux armes biologiques, normalement, on pense à : si je déteste votre pays, je vous propagerais la peste bubonique et je tuerais la moitié de votre population. Mais normalement, ce n’est pas ce qui arrive. Si je déteste votre pays, il y a d’autres moyens plus efficaces avec des agents pathogènes biologiques, que de tuer des gens. Des maladies sont bien plus couteuses et plus difficiles à traiter que des décès.

Si vous voulez réellement faire des dégâts dans un pays, je ne veux pas d’un virus qui tue tout le monde. Je veux un virus qui rend tout le monde malade, parce que cela tue vos hôpitaux. Tout votre système de santé s’effondre. Cela exerce une tension sur votre économie. Toute l’économie entière pourrait s’effondrer. Cela pourrait provoquer la faillite de toutes les banques, le système financier d’un pays, et le fonctionnement du crédit. Cela pourrait mettre plus de 100 millions de personnes au chômage.

Cela pourrait provoquer tellement de dégâts financiers, que vous ne pourriez pas vous en relever, ou tout du moins durant 10 ou 20 ans. Donc ce coronavirus rentre parfaitement dans ce moule, parce que cela induit un énorme montant en termes de dommages financiers, par exemple en Italie, sans avoir effectivement, à détruire ce pays. Donc dans un sens, vous pourriez dire que ce virus est faux, mais la réalité de cela, il ne tue pas réellement les populations. Mais cela provoque quelque chose d’autre, et cela va être très efficace.

Les compagnies aériennes Américaines, sont maintenant en train de dire qu’elles ont un besoin d’environ $ 50 milliards de trésorerie immédiate, juste pour survivre à court terme. Et déjà, la plupart des compagnies aériennes, les principales compagnies internationales, ont réduit leurs capacités de 80 à 90 %, donc tout le monde est durement touché.

Quelques compagnies sont entre 5 % et 10 % de leurs anciennes capacités. Ils n’ont presque pas de passagers. Donc de nombreuses entreprises sont en train d’être touchées sévèrement, très très durement et quelqu’un les rachètera au final.    Vous m’avez demandé quelque chose sur la vie en Chine.

Bonnie : oui

Larry : Une reflexion que je vous laisserais, c’est que la Chine est en fait, est un endroit bien plus sympa à vivre, que les portraits généralement dessinés par les media occidentaux. Je viens du Canada, et le Canada est presque comme les Etats-Unis, et ils décrivent la Chine, comme une sorte de dictature, autoritaire ce genre d’endroit, et c’est, juste le contraire en fait. Et je vais vous donner quelques petits exemples pour essayer de vous donner un aperçu.

Un jour, il y a quelques années je suis rentré à la maison, après diner un soir, et j’ai découvert, que je n’avais plus d’électricité. C’était juste un court circuit, que nous réamorçons, pas un grand problème. Mais je me suis tourné ouvertement à ce moment là vers une amie, en réfléchissant si peut –être mon électricité avait été coupée parce que j’avais oublié de payer ma facture. Et elle m’a regardé avec un regard bizarre, et elle a dit « je n’ai jamais entendu une chose pareil. »

Donc au Canada, et aux Etats-Unis, et bien d’autres pays, si vous ne payez pas votre facture d’électricité avant le 12 juillet, vous découvrez que vous n’avez plus d’électricité et vous finissez par payer des frais de réabonnement et d’autres. En chine cela n’arriverait jamais. Ils ne vous puniraient pas.

Bonnie : C’est très intéressant, parce que je suis toujours….Nous lisons des trucs concernant le fonctionnement du crédit social en Chine, comment ils sont en train d’essayer d’espionner tout le monde, et si vous marchez de travers, vous êtes discrédité, et alors vous ne pouvez plus prendre le bus ce genre là.

Larry : Non en fait, c’est très courant d’aller sur le passage interdit ou de traverser la rue au feu rouge même avec un policier à côté.

Le système du crédit social existe en réalité parce que la Chine n’a pas de moyen de punir les gens, comme nous l’avons en occident, et ce que l’on pourrait appeler communément les incivilités. Il n’y a pas de lois pour les arbitrer. Donc ce qu’ils sont en train de faire, c’est de mettre en place ce système à la place des lois du genre, comme une substitution pour le remplacer en quelque sorte. En occident, on peut mettre quelqu’un en prison pour avoir provoqué des nuisances. Nous pourrions instituer une sorte de peine générique.

La Chine n’a rien comme cela. Donc s’il y a des gens qui provoquent de nombreux troubles sociaux, ou s’ils ont des dettes qu’ils refusent de payer, ou qu’ils peuvent le faire, ils vont se retrouver dans ce système de crédit social, et donc inaptes à acheter des billets de première classe, ou des billets de train, et auront quelques inconvénients jusqu’à ce qu’ils se comportent correctement.

Mais, ce n‘est pas à cause de la surveillance, ou parce que c’est un état autoritaire. C’est parce qu’il n’y a pas de lois pour punir les gens pour des choses très courantes aux Etats-Unis. Je veux dire qu’aux Etats-Unis, nous avons couramment des punitions pour toutes ces choses là. En Chine ces punitions, n’existent pas. Donc c’est sa raison d’être. C’est très différent. Une autre chose : au Canada, ou aux Etats-Unis, personne n‘ira jamais doubler un agent de police qui conduit sur l’autoroute à la limitation de vitesse.

Bonnie : ah, ah, ah, c’est vrai

Larry : le comportement ici est complètement différent. Une fois je me trouvais sur le qui de Maglev, un train TGV à l’aéroport de Pudong (Shanghaï) et je regardais un homme et sa femme qui avaient une discussion houleuse avec un policier.

Je n’étais pas assez proche pour savoir quelle était la discorde, mais la dispute s’est terminée avec la femme qui a donné des coups de pieds dans les tibias du policier.  A l’époque j’ai écris « je pense que dans beaucoup de villes occidentales, cela n’aurait pas été une bonne idée »

Bonnie : hahha ça ne plaisante pas.

Larry : donc c’est réellement très différent ici.

Vous pouvez faire faire bien plus de choses en Chine, en particulier des petites choses, enfreindre les règles, et il n’y a pas de punitions, pas de sanctions.

La vie ici est en fait plus libre pour moi que cela si j’étais au Canada, ou aux Etats-Unis, J’ai plus de liberté ici que j’en aurais ailleurs. Cela peut être assez difficile à croire, mais c’est vrai. C’est à 180 ° le contraire, que le portrait  décrit dans les médias occidentaux. C’est agréable, un endroit heureux où il fait bon vivre.

Bonnie Larry Romanoff. Merci beaucoup.

Larry: je vous en prie.

Bonnie : J’étais en train de parler avec Larry Romanoff dans l’émission d’aujourd’hui, COVID USA. Larry Romanoff est un chercheur, journaliste et auteur. Il est à la retraite, et consultant en management et homme d’affaires. Il a exercé divers postes à l’international, dans des entreprises de consultants, et avait sa propre entreprise d’import-export à l’international. Il a été professeur vacataire à l’Université de Shanghai Fudan, présentant des études de cas, en affaires internationales, pour les cadres supérieurs des classes MBA.

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Mr Romanoff vit à Shanghaï et est actuellement en train d’écrire une série de 10 livres liés à la Chine en général, et l’occident. Ses articles sont publiés sur Moon of Shanghai et Blue Moon of Shanghai  – Guns & Butter est produit par Bonnie Faulkner Uro Marko, et Tony Randal. Visitez le site internet sur : at www.gunsandbutter.org pour écouter les anciennes émissions, commenter dessus ou nous rejoindre par courriel, pour recevoir notre lettre d’information qui comprend les émissions récentes et les mises à jour.